Qu'est-ce que la normalité. La normalité est une convention sociale, un fondement sur lequel repose toutes les civilisations. Et c'est au nom de cette normalité qu'émergea la pensée unique et qui finit par laisser place à cette convention sociale conformiste qui préfère donner crédit à un préjugé plutôt qu’à susciter la réflexion et la remise en question. Vous comprendrez facilement, en lisant les prochaines lignes, que je m'insurge contre ce mode de vie, des plus dogmatiques, auquel je n'adhère aucunement et que c'est sans la moindre retenue aucune que je l'envoie se faire foutre bien profondément.
C'était la fin du passage intellectuel, promis je ne recommencerai plus car après tout j'ai tout intérêt à ce que vous puissiez me comprendre, bande d'incultes que vous êtes, c'est pourquoi j'ai décidé d'adapter mon discours à votre niveau et d'en expurger tout les mots comptant plus de trois syllabes.
Il est maintenant temps pour vous de venir faire une incursion dans mon monde, un univers de décadence qui ferait rêver le Marquis de Sade tellement la dépravation y règne, au moins pendant ces quelques instants vous aurez l'occasion de voir ce à quoi ressemble la vie, la vraie. C'est ici que le voyage commence, alors versez vous un verre de votre alcool préféré ou faite un rail de blanche.

22 décembre 1988, Los Angeles, ce n'est qu'à quelques jours de cette célébration visant à commémorer la venue du christ sauveur que je vins au monde et bien que ma mère disait à tous et chacun que ma naissance était le plus beau cadeau de Noël qu'elle puisse recevoir la suite des événements allaient lui prouver le contraire. Dès mes premiers pas dans ce monde peuplé de crétins j'étais ce que l'on pouvait qualifier de petit démon, mon sourire tendre et angélique ainsi que mon regard des plus espiègle me permettait de duper les gens et puis lorsque je faisais un mauvais coup je n'avais qu'à pleurer un bon coup et rapidement les gens tombait dans le panneau; je vous raconte pas le nombre de fois ou les mômes des domestiques ont casqués à ma place.
Bien sur les années passèrent et le sale mioche que j'étais fini par faire place à un jeune homme aussi charmeur que manipulateur et dont la subtilité était son principal atout. Je me rappelle de cette journée ou le proviseur m'avait fait venir à son bureau dans le but de m'expulser, tout ça parce que l'on avait trouvé un tout petit gramme de cocaïne dans mon casier, heureusement qu'il ignorait que je m'étais farci sa vieille et que j'avais finis par lâcher la purée il en aurait fait une maladie et j'aurais la mort du vieux sur la conscience. Réellement ? Mais non, tout ceux qui me connaissent savent pertinemment que je n'ai aucune conscience.

Rendu à l'âge adulte l'homme que j'étais devenu était encore plus calculateur, toutes les décisions que je prenais n'avais qu'un seul et unique objectif: mon profit personnel et je dois vous avouer que j'ai fais couler avec plaisir bien des gens au nom de se profit. Couler leur réputation , les voir se vautrer dans la misère à un point tel qu'il me suppliait de vouloir les achever était ma plus belle récompense et j'adorais savoir que j'avais autant de pouvoir sur leurs misérables existences.

Au moins mes études en finances m'avait été fort utile, j'avais mener de main de maîtres quelques offres hostile d'achats contre certaines entreprises, dans le but de les liquider rapidement, mais ma plus grande victoire fut celle ou je poussai le dirigeant de cette compagnie de disque qui avait ruiné la carrière de ma mère à se balancer en bas de son immeuble, faut avouer qu'en le contraignant à la faillite je lui avais retiré tout ce qu'il avait.

Maintenant je suis âgé de 24 ans, j'ai de l'argent à ne plus savoir quoi en faire mais ma réputation me précède partout ou je vais et c'est pourquoi je décidai de quitter Los Angeles j'ai décidé, du moins pour un temps, d'aller m'installer dans un endroit ou personne ne me connait et ou ma réputation de requin de la finance ne me causera pas d'ennuis, après tout je peux continuer de ruiner ceux qui oseront se dresser sur mon chemin tout en profitant de l'anonymat que me procure Genoa City. Ma vie au sein de ma ville d'adoption semblait se dérouler sans le moindre heurts, bien qu'aux yeux de certains je pouvais passer pour la pire des ordures , après tout notre belle planète n'est qu'un village global et tout fini par se savoir. Toujours en est-il que ma personnalité ambivalente ne fut pas sans attirer l'attention d'une dame du nom de Phyllis Summer Newman, propriétaire d'un magasine, et qui décida de me consacrer un article dans un de ses numéros … au cours de cet article je me livrai à mon interlocutrice avec ma candeur habituelle, tout en préservant cette part de mystère qui faisant mon charme et c'est après cet entretien que je rencontrai cette jolie jeune femme qui allait être appelée à occuper une place prépondérante au sein de mon existence et qui allait faire en sorte d'adoucir mon chaud tempérament  : Summer Ann Newman.

âge • J'ai à peine l'âge requis pour m'acheter de l'alcool
prénom ou pseudo • L'homme qui a vu l'homme qui à vu l'ours
sexe • Il semble que je sois un mec , du moins selon mon passeport
comment as tu connu le forum ? • C'est une longue histoire :D
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autre chose ? • Je vous kiff mes fous
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